Les 3 premières choses à mettre en place pour être RGPD-friendly (et dormir tranquille)
1. Un bandeau de cookies digne de ce nom (pas juste un « OK » qui cache la forêt)
Avant de parler SEO ou UX (termes barbares que je me ferais un plaisir de vous expliquer :D), parlons cookies (non, pas ceux aux pépites de chocolat).
👉 Dès que vous posez des traceurs non essentiels (genre Google Analytics, Meta Pixel et même un pagebuilder comme Elementor…), vous devez obtenir un consentement explicite. Et ça veut dire :
- Pas de cookies avant le “oui” de l’utilisateur
- Possibilité de tout refuser (mais pas juste avec la petite croix)
- Consentement documenté et modifiable à tout moment
💡 Et n’oubliez pas : pas de consentement = pas de cookies. Même pas un tout petit pour goûter.
2. Une politique de confidentialité claire comme de l’eau de roche
Soyons honnêtes : personne ne la lit vraiment. Mais elle doit être béton, car c’est LA preuve que vous respectez les règles.
Elle doit expliquer, en toute transparence :
- 📋 Quelles données vous collectez (formulaires, cookies, inscriptions…)
- ⚖️ Pourquoi vous les collectez (bases légales)
- ⏳ Combien de temps vous les gardez
- 🔐 Qui y a accès (et si vous travaillez avec des prestataires, style Mailchimp ou OVH, il faut le dire)
- 📬 Quels sont les droits de vos utilisateurs (accès, rectification, suppression…)
👉 Mettez le lien dans le footer de votre site internet. Partout. Toujours.
3. Des formulaires conformes (et pas des attrape-mails sauvages)
Un formulaire RGPD-friendly, ce n’est pas sorcier :
- 🔲 Vous ajoutez une case à cocher obligatoire (non cochée par défaut) qui dit « j’ai lu la politique de confidentialité » avec un lien vers celle-ci
- 🧹 Vous évitez de collecter des données inutiles (pas besoin de l’âge du chien si c’est pour une prise de rendez-vous 😅)
💡 Encore plus mieux : vous expliquez pourquoi vous demandez les infos un peu plus spécifiques.